Le Château de Chaules
Voici un lien vers un site retraçant l'histoire du Château de Chaules. L'histoire du Château de Chaules Il nous reste aussi une légende sur ce Château intitulée « La fenêtre du diable » par Henry Delmont, auteur en 1933 d’un très beau guide Touristique : le Guide du Cantal. « Au XIIIème siècle le château de Chaules appartenait à Pons de Corbie. De son union avec Béatrix Foulques de Merle naquit Flore de Corbie qui, devenue jeune fille, fut adulée et choyée par sa famille et son entourage. Elle était d’une grande beauté, sa taille fine, ses yeux noirs, son teint de lys captivaient tous les jeunes seigneurs des environs. Elle adorait la danse et prenait un malin plaisir à fatiguer jusqu’à épuisement ses nombreux cavaliers. Son choix se porta sur messire Amaury de Monjou et le mariage fut décidé pour le vendredi 13 mai. Les parents, très superstitieux, voulaient faire changer le jour, mais Amaury, un tantinet albigeois , s’y opposa. La cérémonie eut lieu à la date fixée, et le bal fut des plus brillants. Le jeune couple tourbillonna longtemps, mais à bout de souffle le mari confia son infatigable danseuse à ses jeunes amis qui, tour à tour, durent se déclarer vaincus. |
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Il nous reste aussi une légende sur ce Château intitulée « La fenêtre du diable » par Henry Delmont, auteur en 1933 d’un très beau guide Touristique : le Guide du Cantal. « Au XIIIème siècle le château de Chaules appartenait à Pons de Corbie. De son union avec Béatrix Foulques de Merle naquit Flore de Corbie qui, devenue jeune fille, fut adulée et choyée par sa famille et son entourage. Elle était d’une grande beauté, sa taille fine, ses yeux noirs, son teint de lys captivaient tous les jeunes seigneurs des environs. Elle adorait la danse et prenait un malin plaisir à fatiguer jusqu’à épuisement ses nombreux cavaliers. Son choix se porta sur messire Amaury de Monjou et le mariage fut décidé pour le vendredi 13 mai. Les parents, très superstitieux, voulaient faire changer le jour, mais Amaury, un tantinet albigeois , s’y opposa. La cérémonie eut lieu à la date fixée, et le bal fut des plus brillants. Le jeune couple tourbillonna longtemps, mais à bout de souffle le mari confia son infatigable danseuse à ses jeunes amis qui, tour à tour, durent se déclarer vaincus. Folle de colère, Flore dit alors : « Ah je voudrais encore danser fut-ce avec le diable ». A ce moment un beau jeune homme inconnu se présenta et sollicita une danse, et le tourbillon reprit de plus belle jusqu’au petit jour. Flore dut alors se déclarer vaincue. Mais le cavalier au lieu de reconduire sa danseuse à sa place, la prit dans ses bras, ouvrit la fenêtre et se précipita avec sa proie dans le vide. C’était le diable en personne. Une fois dissipées, l’épaisse fumée et la forte odeur de soufre, on ne trouva plus que l’empreinte du pied du diable imprimé sur la fenêtre. Depuis, on raconte dans la Châtaigneraie que les filles ne doivent pas se marier un vendredi 13 et surtout ne pas abuser de la danse, car le diable finit toujours par les enlever. » |
L'histoire du mobilier de Saint Constant
Pour celles et ceux qui s'intéressent à l'histoire de notre commune voici un document publié en 2012 par la revue Patrimoine en Haute Auvergne à propos du "Mobilier de l'Eglise de Saint Constant". Un article très bien documenté qui vous intéressera sans doute. Vous pourrez le lire et/ou le télécharger ci-dessous.* |